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lundi 15 juin 2009

La Concurrence vue par Bouygues telecom !!!

Les abus de la société privée de telecommunications
le billet d'Alain Remond lu dans La Croix du15 juin 2009 mérite d'être diffusé
Surprise de voir sa facture téléphonique exploser d'un seul coup une cliente de Bouygues telecom a pris sa plus belle plume pour demander des éclaircissements.Voici la lettre que lui a envoyée le directeur de la relation clients: " nous avonsbien reçu votre courrier et nous vous informons que nous sommes en mesure d'apporter une réponse à votre question. N'ayant pu vous joindre, nous vous remercionsde bien vouloir nous contacter. Un conseiller de clientèle se tient à votre disposition. Composez simplement le 614 depuis votre mobile BT. Cet appel est décompté de votre forfait ou facturé 0,46 euros ( 3,02 frs)la mn si vous êtes détenteur d'un mini forfait ou d'un forfait on line. Ou le 0825825614 depuis votre téléphone fixe (0,15 euros la mn).
En résumé comme Pierre Dac et Francis Blanche dans leur célèbre sketch " il peut le dire", le directeur de la relation clients est "en mesure d'apporter un réponse". Mais au lieu de la donner dans sa lettre, il invite chaleureusement sa correspondante à appeler elle même un numéro surtaxé. Il n'y a pas de petits profits.
1) Pourquoi la facture a-t-elle explosée ?
2) S'ils avaient vraiment voulu la joindre, ne l'auraient-ils pas pu?
3)La lettre appelait une réponse justificative par courrier, ne pas l'avoir fait est déjà le signe d'une incorrection.
4) Vouloir l'obliger à payer une somme supplementaire pour une demande peut être justifiée n'est-ce pas être peu commercial?
Heureusement que la mise en concurrence de France télécomm devait être moins onéreux pour les clients.

mercredi 18 février 2009

Le combat des anti-OGM dans notre région

Pour Bénédicte Bonzi et Olivier Florens, membres du collectif anti-OGM 84 et 13, il faut "protéger le jardin d'Eden" de la région Paca.
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Lire aussi : Les anti-OGM provençaux dénoncent "une nouvelle magouille des semenciers"
Lire aussi : Pas d'OGM sur sa commune, le maire du Thor avait raison

Un département sans aucune culture ni essai OGM qui devient l'emblème de la résistance anti-OGM ? Le Vaucluse est en effet très mobilisé. "Face à une loi déficiente, des maires s'engagent depuis 2001 et mettent en place, chaque année des arrêtés dans leur commune," explique Olivier Florens, l'un des porte-parole du collectif anti-OGM 13-84 qui regroupe la confédération paysanne, Attac, le réseau Biocoop, celui des Amap, des syndicats... Vingt-trois communes, bientôt 25, interdisent la culture d'OGM sur leur territoire. Carpentras, qui a délibéré en juin 2008, devrait prendre prochainement un arrêté et deviendra la première grande ville anti-OGM du département. Si les projecteurs se sont braqués sur le cas du Thor (Verts), récemment, c'est qu'il pourrait bien faire jurisprudence. En décembre 2008, le tribunal administratif de Nîmes a donné raison à son maire Jacques Olivier contre la préfecture qui demandait l'annulation de sa délibération. "C'est la première commune qui a refusé l'injonction et qui est allée devant le tribunal", poursuit Bénédicte Bonzi, autre porte-parole du collectif, par ailleurs référente pour Greenpeace de la campagne anti-OGM
La Provence du mercredi 18 février 2009

Un sentier pour piétons sera créé le long du littoral

Les travaux seront effectués et financés par le conseil général

L'article L 160-6 du code de l'urbanisme, dans le cadre de la loi littoral prévoit l'instauration "d'une bande de 3mètres de largeur d'une servitude destinée à assurer exclusivement le passage des piétons". En d'autres termes, l'aménagement d'un sentier le long du littoral. "Pour nous, il s'étendra de la plage Massane (la moitié appartient à Istres) à Romaniquette", explique Lionel Bouchaud, conseiller municipal chargé des Activités nautiques, du Stationnement et de la Circulation. Soit en tout 11,740km pour ce qui concerne Istres.De magnifiques lieux de promenade La Direction départementale de l'équipement (DDE) arrondissement maritime réalise actuellement une étude sentier littoral sur la commune pour réaliser ce projet. "De magnifiques lieux de promenade seront ainsi aménagés le long du littoral avec des aires d'arrêt pour des pique-niques par exemple. 75% de ce sentier est déjà constitué de la sorte. A priori les travaux seront rapides (voir encadré)." Il ne reste que quatre zones à ordonner: le Ranquet, Varage, les Heures Claires et au niveau des Bolles. Les travaux sont assurés par la DDE et donc financés par le conseil général. Istres mais aussi toutes les villes littorales de l'étang de Berre sont concernées. "Ce serait une chance extraordinaire pour des marcheurs de pouvoir rejoindre Martigues à pied et de revenir ensuite par bus", explique Eric Casado, adjoint à l'urbanisme. Il peut y avoir quelques difficultés pour aménager des chemins de randonnées entre Istres et Saint-Chamas car il s'agit d'une zone difficile." Autre problème pour la DDE, s'arranger avec les propriétaires dont les habitations se retrouveront sur le tracé (voir ci-dessous). "Nous avons voté en conseil municipal la délibération autorisant la DDE à discuter avec les propriétaires concernés sur notre territoire", ajoute Eric Casado.
La Provence du lundi 16 février 2009

"Il existe un moyen de ne pas payer 500 millions d'euros si on arrête l'incinérateur"

Ancien élu écologiste, Christian Raynaud estime que l'audit réalisé par la communauté urbaine Marseille Provence Métropole a négligé certaines pistes
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Lire aussi : L'audit financier de l'incinérateur de Fos-sur-Mer
Caselli : "Je veux réduire la part d'incinération"
Vu sur Canal Maritima : Une réunion publique contre l'incinérateur

En juin dernier, l’usine de traitement des déchets que la communauté urbaine Marseille Provence Métropole fait construire à Fos-sur-Mer a connu un bug judiciaire, à la suite d’un recours déposé par un ancien élu écologiste, Christian Raynaud, avec l'aide de l'association Fare Sud.
Aujourd'hui membre du MoDem, ce spécialiste du traitement des déchets défend l’idée d’une prolongation du fonctionnement de la décharge d’Entressen. Toujours très déterminé, il condamne la délibération qu'Eugène Caselli, le président PS de MPM, proposera le jeudi 19 février aux élus de la communauté urbaine et qui permettra de mettre en marche l'incinérateur en 2010.
La Provence du mercredi 18 février 2009

Au Vallon du Fou, un nouvel arrêté régularise l'exploitation

Le préfet vient de reformuler un texte autorisant la décharge à fonctionner
Les péripéties qui ont perturbé le début de l'exploitation du Vallon du Fou sont, peut-être, enfin terminées. En effet, Gaby Charroux l'a annoncé hier: le préfet a délivré un nouvel arrêté "régularisant" l'enfouissement des déchets au centre technique de Martigues. Les détracteurs du projet-notamment le CIQ de Saint-Pierre-avaient soulevé en justice l'irrégularité de cette décharge, pourtant avancée comme "exemplaire" par son maître d'oeuvre, au motif qu'elle acceptait tous les déchets et non uniquement les déchets dits "ultimes". Or, en l'état actuel des connaissances et, surtout, des moyens de traitement complémentaires qui existent dans les Bouches-du-Rhône, cette notion de déchets ultimes pouvait prêter à débattre. Ce n'est plus le cas. "L'association Fare Sud, dont fait partie le CIQ, a admis que notre position était légitime, précise le président de la CAPM. Je pense, qu'aujourd'hui, dans ce contexte, le centre du Vallon du Fou est un bon compromis. Nous avons présenté un maximum de garanties en nous engageant, par exemple, à continuellement mettre ce site aux normes, qu'elles soient technologiques ou sanitaires comme nous le faisons sur tous nos équipements existant".
La Provence du mercredi 18 février 2009

dimanche 15 février 2009

caselli: "le processus ne peut pas être arrêté"

Toutes les pistes ont été explorées. Pour aboutir à chaque fois à la même conclusion, selon Eugène Caselli, président PS de Marseille Provence Métropole (MPM): "L'arrêt de l'incinération est inenvisageable. Le processus en cours ne peut être arrêté". Trop cher, compte tenu des engagements pris par la mandature précédente auprès des banques, des opérateurs industriels. Et de l'état d'avancement des travaux. Trop risqué, si une action en justice venait se greffer sur l'affaire. "Rompre un contrat, c'est s'exposer à un procès. Ma proposition est une alternative", commente le socialiste Eugène Caselli avec une prudence de Sioux.
Enterrant ainsi la promesse faite durant les municipales par le PS. Selon les experts de la collectivité, l'arrêt pur et simple du projet prévu pour février 2010 à Fos aurait un coût trop élevé: près de 500 millions d'euros. La Communauté urbaine a pris la décision d'ajuster le tir après avoir épluché les conclusions d'un audit. Le nouveau projet, qui sera présenté aux conseillers communautaires le 19 février prochain, jour où Ouest Provence a prévu une nouvelle manifestation, fait la part belle à la méthanisation (de 23% à 47%) au détriment de l'incinération (de 77% à 53%), par rapport au projet initial. Ce qui est censé apaiser la colère des maires socialistes concernés. "Ce sera la première usine à répondre au Grenelle de l'Environnement, se félicite le président de MPM. Elle sera en plus dotée d'une étude sanitaire suivie."
La solution arrêtée a un prix: 510 millions d'euros. "J'ai choisi une solution médiane, elle a un coût, je l'assume, poursuit Eugène Caselli. On est allé au maximum de ce qu'on pouvait faire."
Philippe Faner La Provence du 14 février 2009

1000 personnes pour dire encore "non" à l'incinérateur

Associations et citoyens ont pu s'exprimer à Parsemain hier soir
Assis derrière un pupitre, en compagnie de l'ensemble des maires de Ouest Provence, René Raimondi semble tendu. Est-ce la diffusion, sur écran géant, des engagements de Jean-Noël Guérini contre l'incinérateur dans un face-à-face avec Jean-Claude Gaudin avant les élections municipales marseillaises? Où plutôt la confirmation d'une mauvaise nouvelle pour les Fosséens?
Car malgré les discours de façade et les bonnes volontés, l'avenir immédiat semble loin d'être rassurant pour les anti-incinérateur. Bernard Granié s'était pourtant montré rassurant en préambule. "Nous avons été reçus cet après-midi par le président du Conseil général et nous avons été écoutés, explique-t-il devant la foule.Jean-Noël Guérini a pris des engagements: il reste contre l'incinération, il refusera toute nouvelle implantation d'usine de ce type et créera un syndicat mixte pour programmer la fin de l'incinération dans les Bouches-du-Rhône. De plus, il cofinancera des installations qui permettront de méthaniser les 250000 tonnes promises à l'incinération". De bonnes résolutions, certes, mais qui ne paraissent applicables que sur le long terme.
La Povence du 14 février 2009

   
 
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